Extrait
On risquait d’oublier Robert Rovini. Ce premier Cahier relève du devoir de mémoire à l’égard de ce niçois, défenseur acharné de la poésie. De ce germaniste, premier traducteur en France de Hölderlin.
Pour peu que nous prêtions l’oreille aux poèmes de Robert Rovini, nous verrons la lumière de cette “ voix sans mots ”, nous sentirons sa fraîcheur d’avant le jour dans le silence des commencements, nous entendrons son murmure. Le nôtre, quand, invitée par tous les sens, l’âme naît à elle-même, dans la fête.
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